mardi 14 septembre 2021

 Des assurances chez les serruriers

Cette entreprise de serrurerie de Paris 1er est agréée à des assurances habitations telles que Groupama, GMF, Crédit Agricole, etc. Vous êtes donc couvert en cas d’erreurs lors de nos installations ou de nos réparations. Leur équipe de serruriers vous attendent impatiemment. Le meilleur est chez Serrurier Paris 1.


Du haut de gamme chez les serruriers à Paris 1


Pour cette entreprise de serrurerie, la sécurité est très importante. C’est pour cela qu’elle travaille avec les meilleures marques: Fichet, Heracles, Laperche, entre autres. De plus leurs produits sont à des prix très abordables. Vous êtes protégés pendant très longtemps. Contactez des serruriers en toute sérénité.


Des produits certifiés dans leur entreprise de serrurerie


Leurs produits de serrurerie sont de très hauts-de-gamme mais sont également reconnus par les plus grands professionnels de la sécurité car ils sont certifiés A2P. En appelant Serrurier Paris 1er, une qualité de service est assurée. Dans la ville de Paris, cette société de serrurerie est la seule à vous assurer une sécurité maximale. Leurs équipes de serruriers attendent votre appel pour vous faire bénéficier des meilleurs services.


mercredi 23 juin 2021

Dérèglement climatique : l’humanité à l’aube de retombées cataclysmiques, alerte le GIEC

Pénurie d’eau, exode, malnutrition, extinction d’espèces… La vie sur terre telle que nous la connaissons sera inéluctablement transformée par le dérèglement climatique quand les enfants nés en 2021 auront 30 ans, voire plus tôt, alerte un projet de rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’Organisation des Nations Unies (ONU), dont le contenu a été dévoilé, mercredi 23 juin, par l’Agence France-Presse. Le rapport définitif doit paraître le 9 août.

Quel que soit le rythme de réduction des émissions de gaz à effet de serre, les impacts dévastateurs du réchauffement sur la nature et l’humanité qui en dépend vont s’accélérer, assurent des centaines de scientifiques rattachés au GIEC, et devenir douloureusement palpables bien avant 2050.

« La vie sur terre peut se remettre d’un changement climatique majeur en évoluant vers de nouvelles espèces et en créant de nouveaux écosystèmes, note le résumé technique de 137 pages. L’humanité ne le peut pas. »

Le projet de rapport rédigé par le GIEC oscille entre un ton apocalyptique et l’espoir offert aux hommes de changer leur destin par des mesures immédiates et drastiques. Le rapport d’évaluation complet (4 000 pages), bien plus alarmiste que le précédent de 2014, a pour vocation d’éclairer les décisions politiques. Même si ses principales conclusions ne changeront pas, il ne sera officiellement publié qu’en février 2022, après son approbation par consensus par les 195 Etats membres. Trop tard cependant pour les cruciales réunions internationales sur le climat et la biodiversité prévues à la fin de 2021, notent certains scientifiques.

Risque d’« impacts irréversibles » au-delà du seuil de 1,5 °C

Parmi ses conclusions les plus importantes figure un abaissement du seuil au-delà duquel le réchauffement peut être considéré comme acceptable. En signant l’accord de Paris en 2015, le monde s’est engagé à limiter le réchauffement à 2 °C par rapport à l’ère préindustrielle, si possible à 1,5 °C. Désormais, le GIEC estime que dépasser le seuil de 1,5 °C de hausse des températures pourrait déjà entraîner, « progressivement, des conséquences graves, pendant des siècles, et parfois irréversibles ». Et selon l’Organisation météorologique mondiale, la probabilité que ce seuil de 1,5 °C sur une année soit dépassé dès 2025 est déjà de 40 %.

« Le pire est à venir, avec des implications sur la vie de nos enfants et nos petits-enfants bien plus que sur la nôtre », affirme le GIEC, alors que la prise de conscience sur la crise climatique n’a jamais été aussi étendue.

Le climat a déjà changé. Tandis que la hausse des températures moyennes depuis le milieu du XIXe siècle atteint 1,1 °C, les effets sont déjà graves et seront de plus en plus violents, même si les émissions de CO2 sont freinées. Et les êtres vivants – humains ou non – les moins à blâmer pour ces émissions sont ceux qui en souffriront le plus. Pour certains animaux et variétés de plantes, il est peut-être même déjà trop tard : « Même à 1,5 °C, les conditions de vie vont changer au-delà de la capacité de certains organismes à s’adapter », souligne le rapport, citant les récifs coralliens, dont un demi-milliard de personnes dépendent.

Parmi les espèces en sursis figurent les animaux de l’Arctique, territoire qui se réchauffe trois fois plus vite que la moyenne. Sur place, des modes de vie ancestraux, de peuples vivant en lien étroit avec la glace, pourraient aussi disparaître.

Jusqu’à 80 millions de personnes de plus auront faim

Agriculture, élevage, pêche, aquaculture… « Dans tous les systèmes de production alimentaire, les pertes soudaines s’accroissent », observe aussi le rapport, pointant les aléas climatiques comme « principal moteur ». Or l’humanité n’est à ce stade pas armée pour faire face à la dégradation certaine de la situation. « Les niveaux actuels d’adaptation seront insuffisants pour répondre aux futurs risques climatiques », prévient le GIEC.

Même en limitant la hausse à 2 °C, jusqu’à 80 millions de personnes supplémentaires auront faim d’ici à 2050 et 130 millions pourraient tomber dans la pauvreté extrême d’ici à dix ans. En 2050, des centaines de millions d’habitants de villes côtières seront menacés par des vagues-submersion plus fréquentes, provoquées par la hausse du niveau de la mer, qui entraînera à son tour des migrations importantes. Avec une augmentation limitée à 1,5 °C, dans les villes, 350 millions d’habitants supplémentaires seront exposés aux pénuries d’eau, 400 millions au-delà de 2 °C. Et avec ce demi-degré supplémentaire, 420 millions de personnes de plus seront menacées par des canicules extrêmes.

« Les coûts d’adaptation pour l’Afrique devraient augmenter de dizaines de milliards de dollars par an au-delà de 2 °C », prédit le rapport. Encore faut-il trouver cet argent. Le texte souligne d’autre part le danger des effets en cascade. Certaines régions (est du Brésil, Asie du Sud-Est, Chine centrale) et presque toutes les zones côtières pourraient être frappées par trois ou quatre catastrophes météorologiques simultanées, voire plus : canicule, sécheresse, cyclone, incendie, inondation, maladies transportées par les moustiques… Et il faut de surcroît prendre en compte les effets amplificateurs d’autres activités humaines néfastes pour la planète, note le rapport : destruction des habitats, surexploitation des ressources, pollution, propagation des maladies…

« Le monde fait face à des défis entremêlés complexes », commente ainsi Nicholas Stern, spécialiste de l’économie du climat, pas impliqué dans ce rapport. « A moins de les affronter en même temps, nous n’allons en relever aucun », estime-t-il.

Des choix radicaux





Sans oublier les incertitudes autour des « points de bascule », éléments-clés dont la modification substantielle pourrait entraîner le système climatique vers un changement violent et irrémédiable. Au-delà de 2 °C de réchauffement, la fonte des calottes glaciaires du Groenland et de l’Antarctique de l’Ouest (qui contiennent assez d’eau pour provoquer une hausse du niveau de la mer de 13 mètres) pourrait par exemple entraîner un point de non-retour, selon de récents travaux. C’est pour cela que « chaque fraction d’un degré compte », insiste le GIEC, alors qu’un autre point de rupture pourrait voir l’Amazonie – un des poumons de la planète avec les océans – transformée en savane.

Face à ces problèmes systémiques, aucun remède miracle unique. En revanche, une seule action peut avoir des effets positifs en cascade. Par exemple, la conservation et la restauration des mangroves et des forêts sous-marines de kelp, qualifiées de puits de « carbone bleu », accroissent le stockage du carbone, mais protègent aussi contre les submersions, tout en fournissant un habitat à de nombreuses espèces et de la nourriture aux populations côtières.

En dépit de ses conclusions alarmantes, le rapport offre ainsi une note d’espoir. L’humanité peut encore orienter sa destinée vers un avenir meilleur en prenant aujourd’hui des mesures fortes pour freiner l’emballement de la deuxième moitié du siècle. « Nous avons besoin d’une transformation radicale des processus et des comportements à tous les niveaux : individus, communautés, entreprises, institutions et gouvernement », plaide le rapport. « Nous devons redéfinir notre mode de vie et de consommation. »


Source : Le Monde

mardi 22 juin 2021

Vitrier professionnel installe votre crédence à Eveux


Les artisans vitriers qualifiés et professionnels de Basico Vitrier vous proposent des services de qualité, aux meilleurs prix. Avec plusieurs années d'expériences à leur actif, les interventions sur Eveux se dérouleront dans les meilleurs délais. 

Cette société est ouverte tous les jours de la semaine, de jour comme de nuit, ainsi que pendant les jours fériés.

Ce vitrier sur Eveux effectue des prestations comme des mises en place de vitres, des remplacements de volets, des mises en sécurité, des fermetures provisoires, bris de glace, des installations de verres de restauration, des changements de fenêtres sur-mesure, des impressions digitales sur verre, des découpes sur-mesure, etc.

Cette entreprise travaille avec de nombreuses marques partenaires comme Mondial Fenêtres, Tryba, Sevax, Saint-Gobain, Joint Dual, Velux, dans le but de vous fournir des services de qualité, à des tarifs qui défient toute concurrence. Basico Vitrier est également agréés par de multiples assurances habitation (Groupama, la Société Générale, Axa, Allianz, etc.) et dispose d'une assurance décennale.

N'hésitez pas à contacter cette société, à tout moment, afin d'obtenir des informations complémentaires sur vos différents projets ou vos travaux. Vous avez aussi la possibilité d'obtenir votre devis détaillé gratuit en ligne ou par téléphone.

mardi 15 juin 2021

Régionales: emploi, transports, sécurité... Ce qu'il faut retenir du débat organisé en Île-de-France


Valérie Pécresse s'y attendait, en s'installant face à ses six concurrents dans sa position de présidente sortante. «Je sais que ça va être haro sur Pécresse», a lancé la dirigeante (soutenue par Les Républicains, LR) de la région Île-de-France, peu de temps après le début de «La Grande Confrontation» organisée lundi par LCI, Le Figaro et RTL. Sa prédiction s'est avérée juste. Emploi, écologie, transports: l'ex-ministre de Nicolas Sarkozy a été très vite érigée en cible par ses adversaires, à quelques jours des élections régionales des 20 et 27 juin.

Dans ce débat de trois heures à la portée nationale, émaillé de vives passes d'armes, les échanges se sont d'abord animés autour des aides régionales pour relancer l'économie. Les candidats de gauche ont regretté la faiblesse des contreparties demandées, notamment en matière d'emploi, aux grandes entreprises subventionnées. «Arrêtons d'arroser là où c'est mouillé», a insisté le Vert Julien Bayou. D'«arroser le grand patronat», a enchéri Nathalie Arthaud, de Lutte Ouvrière. Les gauches ont affiché leur préférence : favoriser «l'économie sociale et solidaire».

Blâmée de toutes parts

Face à ce front, le député macroniste Laurent Saint-Martin (La République en marche, LREM) a volé au soutien de la présidente sortante. «C'est Valérie Pécresse qui a raison : oui, on aide toutes les entreprises», a-t-il déclaré, en bon défenseur du «quoi qu'il en coûte» macroniste. L'intéressée s'est pour sa part enorgueillie d'avoir «fait venir de nouveaux investisseurs» pendant son mandat et d'avoir «relocalisé 140 entreprises». «Je connaissais Alice au Pays des Merveilles. Maintenant, on a Valérie au Pays des bobards !», lui a lancé l'Insoumise Clémentine Autain.

C'est ensuite sa promesse de «révolution des transports» que Valérie Pécresse a vu blâmée de toutes parts. Question de Laurent Saint-Martin : «Pourquoi ne voulez-vous pas reconnaître qu'(elle) n'a pas eu lieu ?»«Laissez-moi six ans, et vous verrez», a répliqué la cheffe de file de la droite, toute à sa volonté de «doubler le réseau de transports».

En sa faveur, la cible s'est déportée quelques instants sur ses deux concurrentes de gauche, Clémentine Autain et Audrey Pulvar (soutenue par le Parti socialiste), quand elles ont défendu l'objectif de gratuité des transports. «Une illusion», a blâmé la présidente sortante. «Quand c'est gratuit, c'est toujours quelqu'un qui paie», ont abondé en ce sens le chef de file du Rassemblement national (RN), Jordan Bardella, et le Marcheur Laurent Saint-Martin. Sur les questions environnementales, un axe LR-LREM-RN s'est aussi opposé aux gauches, décrites comme partisanes d'une écologie «punitive».

Enjeu présidentiel

L'enjeu du scrutin dépasse le cadre régional pour Valérie Pécresse : l'ex-ministre, candidate pressentie pour l'élection présidentielle de 2022, a réaffirmé qu'elle quitterait la vie politique en cas d'échec les 20 et 27 juin. «Les Franciliens doivent décider : stop ou encore», a résumé lundi soir la présidente d'Île-de-France, favorite dans les sondages et encore donnée vainqueur au second tour, dans tous les cas de figure, par la dernière étude Ifop pour Le Figaro et LCI publiée dimanche.

Familière des harangues anti-Macron à l'échelle nationale, l'ex-membre de LR a toutefois relativement épargné son adversaire Marcheur sur le plateau. Elle a préféré viser Jordan Bardella, l'accusant de n'avoir pas voté certaines mesures régionales en faveur de la sécurité. «M. Bardella a fait le choix de l'insécurité», a-t-elle souligné, détournant ainsi le slogan du vice-président du RN, chantre d'une «région qui protège» , notamment face à une «immigration massive».

Interrogés sur leurs stratégies d'entre-deux tours, les chefs de file de gauche ont indiqué sans équivoque qu'ils fusionneront leurs listes. Moins clair sur son positionnement vis-à-vis de Valérie Pécresse, le Marcheur Laurent Saint-Martin a pour sa part promis de mener «jusqu'au bout» son «combat»«Droite régionale qui creuse les inégalités», dixit Clémentine Autain, contre «gauche à la vision décroissante», selon Valérie Pécresse : en dépeignant leurs adversaires en fin de débat, les candidats semblaient se les être déjà choisis pour le second tour.

Source : Le Figaro

lundi 14 juin 2021

La gazette de l’Euro 2021 : dédicace, apaisement et retour à la maison

  •  A l’affiche : Espagne-Suède

A l’origine, l’Espagne devait disputer ses matchs de l’Euro à Bilbao, au Pays basque. C’est finalement à l’autre bout du pays, au stade la Cartuja de Séville, en Andalousie, que la Roja va recevoir ses adversaires dans le groupe E. A commencer par la Suède, ce lundi à 21 heures, dans un match perturbé par l’épidémie de Covid-19.

Le capitaine espagnol, Sergio Busquets, a en effet été diagnostiqué positif au Covid-19, dimanche 6 juin, avant d’être renvoyé à l’isolement chez lui à Barcelone. Deux jours plus tard, le défenseur Diego Llorente a lui aussi été testé positif, mais les tests de confirmation ont apporté un résultat négatif le concernant. « Il y a de sérieuses présomptions qu’il s’agisse d’un faux positif », a indiqué la fédération espagnole dans un communiqué publié jeudi 10 juin. Le sélectionneur Luis Enrique espère tout de même pouvoir récupérer rapidement les deux joueurs.

La Suède n’est pas en reste. Le sélectionneur, Janne Andersson, va devoir se passer de Dejan Kulusevski et Mattias Svanberg, testés positifs au Covid-19 mardi 8 juin. Ces forfaits s’ajoutent à l’absence notoire de Zlatan Ibrahimovic : la star suédoise a subi une entorse du genou en fin de saison avec l’AC Milan et ne figure pas dans le groupe des Blagult à l’Euro.

  • Ça s’est passé hier

Pour son entrée dans le tournoi, à domicile à Wembley, l’Angleterre s’est imposée par un petit 1-0 face à la Croatie (groupe D).

Dans le groupe C, l’Autriche a été accrochée par la Macédoine du Nord, mais a fini par s’imposer (3-1).

Dans le même groupe C, les Pays-Bas ont arraché la victoire contre l’Ukraine dans les dernières minutes du match (3-2).

  • Euro star : Robert Lewandowski

Tous les regards seront tournés vers lui cet après-midi. Pour son entrée en lice dans la compétition face à la Slovaquie (18 heures), la Pologne comptera sur le talent de son attaquant star, Robert Lewandowski. A 32 ans, le joueur du Bayern Munich sort d’une saison hallucinante sous le maillot des Bavarois : 48 buts et 9 passes décisives en 40 rencontres.

Avec 66 réalisations en 119 sélections, Lewandowski est aussi le meilleur buteur de l’histoire de la Pologne, et son capitaine. Mais l’ancien de Dortmund est loin d’être aussi précis lors des grandes compétitions internationales, et n’a marqué tout au long de sa carrière que deux petits buts en 11 matches de Coupe du monde et d’Euro.

Une statistique qu’il devra améliorer s’il veut que son équipe parvienne à s’extirper d’un groupe E plutôt ouvert. En cas de gros parcours de sa sélection, il pourrait devenir un prétendant très sérieux au Ballon d’or, qui récompense le meilleur joueur de la saison.

  • Pendant ce temps… : une accréditation refusée puis finalement acceptée en Russie

Robert Kempe pourra bien se rendre dans la ville russe de Saint-Pétersbourg pour couvrir l’Euro 2021. Ce journaliste de la télévision publique allemande ARD a obtenu son accréditation pour la compétition alors que celle-ci lui avait d’abord été refusée.

Les autorités russes avaient demandé que son accréditation soit annulée à cause de ses reportages critiques envers Moscou. Robert Kempe a récemment travaillé sur les relations entre le géant russe du gaz Gazprom et l’UEFA ou encore sur des enquêtes concernant la Tchétchénie ou l’embauche de travailleurs nord-coréens pour la construction d’un stade à Moscou avant la Coupe du monde 2018.

Le refus de son accréditation avait provoqué un tollé en Allemagne. Face aux nombreuses protestations, les autorités russes sont revenues sur leur décision, selon le site d’ARD. « Cet exemple montre à quel point il est important de rendre public ce type d’incidents, a déclaré sa rédactrice en chef Ellen Ehni. En tant que médias, nous devons être vigilants et dire clairement quand nos journalistes ne peuvent pas travailler librement. »


  • Dans la lucarne : Lainer dédie son but à Eriksen

Après le Belge Romelu Lukaku, qui avait adressé un « Christian, I love you » après son premier but, samedi, contre la Russie (3-0), Stefan Lainer a aussi exprimé son soutien envers le Danois Christian Eriksen. Ce dernier a été victime d’un malaise lors du match contre la Finlande, samedi 12 juin. Le lendemain, après avoir ouvert la marque contre la Macédoine du Nord, le latéral droit autrichien a brandi un maillot blanc siglé du message : « Eriksen, stay strong » (« Eriksen, sois fort » en français).

Un peu plus tôt dans la journée de dimanche, à l’occasion d’une conférence de presse de la délégation danoise, le médecin de la sélection, Morten Boesen, a précisé que Christian Eriksen « se portait aussi bien que possible vu les circonstances »Avant d’ajouter qu’il « était parti » et que « c’est pour cela qu’on a dû faire de la réanimation cardiaque »« On n’aurait pas dû jouer. Je pense que c’était une mauvaise décision », a pour sa part commenté le sélectionneur Kasper Hjulmand.

  • Reprise de volée :
Est-ce la fin des tensions entre Kylian Mbappé et Olivier Giroud ? C’est en tout cas ce qu’a laissé entendre l’attaquant du PSG, dimanche en conférence de presse, alors qu’il avait pris personnellement une remarque de son coéquipier faite mardi après la victoire en amical face à la Bulgarie.

Il réagissait à cette phrase d’Olivier Giroud qui s’était agacé face aux journalistes : « Je suis discret parce que des fois on fait des courses mais les ballons n’arrivent pas. »

  • Un coin de ciel bleu : Karim Benzema rassure sur son état de santé

Karim Benzema a inquiété le public français à l’occasion de son deuxième match après son retour en sélection. Sorti avant la mi-temps contre la Bulgarie à cause d’une béquille, l’attaquant du Real Madrid est resté aux soins jusqu’à vendredi. Il a pu reprendre l’entraînement samedi.

Dans un entretien accordé à TF1, dimanche, le numéro 19 des Bleus a assuré qu’il était désormais « à 100 % ». Karim Benzema s’est aussi montré confiant quant au potentiel de l’équipe de France et à la pression qui l’entoure : « Tout ce qu’il y a autour de nous, c’est normal avec l’équipe qu’on a, et les résultats qu’on a eus. Il n’y a qu’une seule vérité, c’est le terrain. On est capable de montrer qu’on peut rivaliser avec n’importe quelle équipe. Pour nous chaque match est une finale. » Son Euro est (presque) lancé.

  • Covidomètre : le Portugais Joao Cancelo rentre à la maison

L’Euro aura été de courte durée pour Joao Cancelo. Le défenseur portugais (27 ans) a été testé positif au Covid-19 dimanche matin, et immédiatement mis à l’isolement par sa fédération. Un coup dur pour le joueur, titulaire indiscutable, et pour son équipe, dont le premier match se déroule mardi contre la Hongrie (18 heures). Le latéral de Manchester City a été remplacé par Diogo Dalot (22 ans), défenseur du Milan AC ne comptant pour le moment aucune sélection nationale.

Source : Le Monde


vendredi 11 juin 2021

Installation de fermeture provisoire, 24h/24 et 7j/7


Cette entreprise située à Saint-Fons est disponible pour les particuliers et les professionnels dans le domaine de la vitrerie et de la miroiterie. Basico Vitrier est ouvert tous les jours de la semaine, de jour comme de nuit, les week-ends et les jours fériés inclus.

Disponible avec ou sans rendez-vous, ce vitrier sur Saint-Fons intervient pour de nombreuses missions de qualité, à bas prix, comme des poses de fenêtres sur-mesure, des mises en place de baies vitrées pliantes, des fermetures provisoires, des mises en sécurité, bris de glace, des impressions digitales sur verre, des changements de verres de restauration, des remplacements de verres feuilleté imprimé, et bien d'autres encore.

Basico Vitrier est une société agréée par les assurances habitation tels que Groupama, Axa, Aviva, la Société Générale, ou bien encore BNP, et titulaire d'une assurance décennale. Nous vous proposons des services, aux meilleurs prix garantis.

Donc si vous avez prévu de faire des travaux, mais que vous voulez de la qualité, sans trop vous ruiner, vous avez frapper à la bonne porte. Vous avez la possibilité de demander votre formulaire de devis détaillé gratuit auprès de l'un des artisans, ou vous pouvez les appeler pour obtenir des conseils, ainsi que des recommandations sur vos différents projets.

mardi 8 juin 2021

Des centaines de personnes arrêtées lors d’un coup de filet mondial contre le crime organisé



Il a fallu trois années et la collaboration des polices de plusieurs pays pour parvenir à un coup de filet d’ampleur contre le crime organisé : des centaines de personnes ont été arrêtées à travers le monde, a annoncé, mardi 8 juin, la police fédérale australienne grâce au noyautage d’une application de communication utilisée par les malfaiteurs.

Lors de cette opération, présentée comme « la plus sophistiquée du monde », contre le crime organisé, les polices des Etats-Unis, d’Australie, de Nouvelle-Zélande et de plusieurs pays d’Europe ont révélé qu’elles contrôlaient en fait l’application baptisée « AN0M », dont se servaient des malfrats du monde entier pour échanger de façon cryptée.

L’opération – nommée « Ironside » en Australie et « Bouclier de Troie » dans le reste du monde – a permis aux enquêteurs de seize pays d’observer des membres de la mafia, de syndicats criminels asiatiques ou encore de gangs de motards hors la loi qui échangeaient sur des ventes de stupéfiants, des activités de blanchiment d’argent ou même des projets d’assassinats.

Rien qu’en Australie, 224 personnes ont été arrêtées lors de ce coup de filet qui, selon le premier ministre australien, Scott Morrison, « a infligé un coup dur au crime organisé, non seulement dans ce pays, mais qui aura un écho dans le monde entier ».

En plus d’obtenir la capacité de décrypter des messages en temps réel, le FBI et les autres services de police sont parvenus à encourager les malfaiteurs à recourir au téléphone crypté AN0M. Les appareils ne permettaient pas de passer des appels ni de consulter ses courriels et n’avaient pas de coordonnées GPS. Ils permettaient uniquement d’envoyer des messages à d’autres téléphones AN0M. Ils ne pouvaient s’acheter que sur le marché noir et impliquaient d’avoir un code transmis par un autre utilisateur.

« Influenceurs criminels »

Des médias australiens rapportent que les policiers ont procuré ces téléphones à des suspects connus, y compris à un Australien recherché pour trafic de drogue et en cavale en Turquie. « Un criminel devait connaître un autre criminel pour obtenir ce matériel », a expliqué la police australienne dans un communiqué.

« Les appareils ont circulé et leur popularité a grandi parmi les criminels, qui avaient confiance dans la légitimité de l’application car de grandes figures du crime organisé se portaient garantes de son intégrité », a-t-elle poursuivi.

« Ces influenceurs criminels ont mis la police fédérale australienne dans la poche revolver de centaines de délinquants présumés », s’est félicité le chef de la police australienne, Reece Kershaw, dans le communiqué. « Finalement, ils se sont passé les menottes les uns aux autres en adoptant et en faisant confiance à AN0M et en communiquant ouvertement avec, sans savoir que nous les écoutions », a-t-il ajouté.

Cette opération a été rendue possible grâce à l’infiltration, par le FBI, de systèmes similaires de communications cryptées, Phantom Secure et Sky Global, qui avait permis aux policiers américains d’accéder aux communications de dizaines de milliers d’utilisateurs, y compris des grandes figures du crime organisé.

Six laboratoires de fabrication de drogue fermés

« La fermeture de ces deux plates-formes de communications cryptées avait créé un vide sur le marché », a expliqué la police néo-zélandaise. Pour le combler, « le FBI a piloté son propre système d’appareils cryptés, baptisé AN0M ». Dans le même temps ont été lancées des rumeurs sur la prétendue vulnérabilité d’un système concurrent, baptisé « Ciphr ». Il n’est pas encore certain, à ce stade, qu’AN0M soit totalement une création de la police ; il pourrait s’agir d’un système déjà existant qui aurait été infiltré.

Les 224 personnes interpellées en Australie sont désormais inculpées d’un total de plus de 500 chefs d’accusation ; six laboratoires de fabrication de drogue ont été fermés ; quantité d’armes et 45 millions de dollars australiens (29 millions d’euros) en liquide ont été saisis.

« Des centaines de personnes ont aussi été arrêtées » hors d’Australie, a ajouté la police de ce pays. Son homologue néo-zélandaise a pour sa part annoncé l’interpellation de trente-cinq personnes, notamment pour trafic de drogue et blanchiment d’argent.

L’agence européenne de police criminelle Europol et le FBI prévoyaient de donner une conférence de presse à La Haye (Pays-Bas), à 10 heures (heure de Paris).

Source : Le Monde

lundi 7 juin 2021

Législatives au Mexique : recul du parti au pouvoir



Les Mexicains ont fini de participer, dimanche 6 juin, à des élections législatives et locales, un processus-clé pour le président, Andres Manuel Lopez Obrador (« AMLO »), émaillé par des violences.

Les derniers bureaux de vote ont fermé à 20 heures locales (3 heures du matin lundi heure de Paris) après dix heures de scrutin pour renouveler la Chambre des députés, quelque 20 000 postes régionaux et 15 des 32 gouvernorats.

Selon une première estimation officielle diffusée après 23 heures (6 heures heure française), le parti au pouvoir au Mexique a perdu la majorité absolue et la majorité qualifiée avec ses alliés à la Chambre des députés. Le parti Morena du président AMLO disposera d’entre 190 et 203 des 500 sièges, perdant la majorité absolue (la moitié plus un) à lui seul et la majorité qualifiée (deux tiers) dont il jouissait avec ses trois partis alliés, d’après les premiers résultats de l’Institut national électoral (INE).

Quelque 95 millions de Mexicains avaient été conviés à ce scrutin en forme de test de mi-mandat pour AMLO, président de gauche élu pour six ans en 2018.

Deux têtes humaines découvertes dans des bureaux de vote

Le scrutin a été endeuillé par le meurtre de cinq responsables d’un bureau de vote. Ces assassinats ont eu lieu la veille du scrutin, lorsque des hommes armés ont tendu une embuscade à un groupe de personnes qui transportaient du matériel électoral dans une camionnette, dans une localité de l’Etat du Chiapas, dans le sud du pays, a fait savoir le bureau du procureur général. L’attaque a alourdi le bilan d’une campagne qui a vu 89 politiciens tués depuis septembre, dont 36 candidats ou précandidats, selon Etellekt, une société de conseil.

A Tijuana (nord-ouest), ville frontalière des Etats-Unis, deux têtes humaines ont été découvertes dimanche dans des bureaux de vote, ont rapporté les autorités locales. Lors d’un premier incident, alors que les bureaux étaient ouverts depuis un peu plus d’une heure, un homme s’est approché et a jeté une tête humaine à l’intérieur, selon un rapport du bureau du procureur de l’Etat de Basse-Californie. Le vote a été momentanément perturbé et l’intervention de la police a été nécessaire pour emporter la tête.

Quelques heures plus tard, dans un bureau de vote de la même zone, un homme s’est approché et a laissé une autre tête ainsi que des restes humains démembrés dans une boîte en bois, placée juste à côté de l’urne. A proximité d’un autre bureau de vote, des sacs contenant des restes humains ont également été découverts, selon le rapport du procureur. Cette suite d’incidents s’est produite dans la même circonscription électorale de Tijuana, en bordure de San Diego, en Californie.

La secrétaire à la sécurité publique, Rosa Icela Rodriguez, a affirmé que des zones de violence avaient été identifiées pendant la journée électorale. A Guerrero (sud), l’un des Etats les plus violents du pays, des membres de la police civile communautaire ont patrouillé toute la journée. « Les membres du crime organisé viennent pour diviser les gens, ils ne les laissent pas voter librement », a averti Isaias Posotema, un des responsables de cette police à Chilapa, une zone gangrenée par les gangs.

L’INE a annoncé qu’en raison de troubles de l’ordre public, 20 bureaux de vote sur un total de 162 000 n’avaient pu être installés.

Un « référendum » pour ou contre AMLO

« L’enjeu n’est ni plus ni moins que l’avenir du Mexique », analyse Pamela Star, professeure à l’Université de Californie du Sud (USC) en soulignant que « les électeurs vont devoir choisir entre deux visions d’avenir pour le Mexique : celle des réformes d’AMLO ou un retour à une politique plus ancienne »« Cette élection est un référendum pour Lopez Obrador », estime le cabinet conseil britannique Capital Economics.

Bien que le Mexique soit l’un des pays les plus durement touchés par le Covid-19, la perspective d’un vote sanction semble s’éloigner avec le recul des indicateurs de la crise sanitaire, selon plusieurs sondages. De fait, AMLO maintient une cote de popularité de plus de 60 % et devrait conserver une majorité confortable.

Le Mexique, pays de 126 millions d’habitants, comptabilise près de 229 000 morts consécutives au Covid-19. Le taux de mortalité est le quatrième au monde en chiffres absolus et le 19e pour 100 000 habitants.

L’alliance au pouvoir, dirigée par le parti Morena d’AMLO, dispose d’une majorité qualifiée à la Chambre des députés (deux tiers des 500 députés), qui est élue tous les trois ans. Morena contrôle également le Sénat – qui n’est pas l’enjeu de cette élection – et doit négocier avec les autres blocs pour obtenir une majorité qualifiée. Fortement affaiblie sous la domination de l’administration AMLO, l’opposition est en concurrence avec une alliance de partis traditionnels : l’historique PRI (centre), le PAN (conservateur) et le PRD (gauche).

L’économie mexicaine, la deuxième d’Amérique latine, s’est contractée de 8,5 % en 2020 dans un contexte de contrôle strict des dépenses par le gouvernement, qui, avec la banque centrale autonome, prévoit un rebond de 6 % à 7 % cette année.

Source : Le Monde

vendredi 4 juin 2021

Vitrier fiable et de confiance sur Genay


Cette entreprise spécialisée en vitrerie et en miroiterie est disponible du lundi au dimanche, de jour comme de nuit. Les artisans vitriers peuvent également se déplacer durant les jours fériés. Basico Vitrier peut intervenir pour les particuliers et les professionnels, pour des prestations sur rendez-vous ou pour des dépannages en urgence, tout au long de l'année.

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lundi 31 mai 2021

Cause des expulsions, régions concernées... La fin de la trêve hivernale en infographies

En 2021, la fin de la trêve hivernale a beau avoir été repoussée de deux mois, des milliers de familles redoutent encore d'être expulsées de leur logement. Cette période, pendant laquelle aucune expulsion ne peut avoir lieu, se termine en effet ce mardi 1er juin, au lieu du 1er avril 2021, comme l'avait annoncé début février Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement.  

Un report encouragé par la crise sanitaire, qui a aggravé la situation sociale et financière de nombreuses personnes, et répondant à l'appel de la fondation Abbé Pierre. Si l'association applaudit la décision du gouvernement, elle réclamait néanmoins un nouveau report début mai. Un millier de militants, personnes mal logées et exilés sans-abri ont ainsi manifesté dimanche pour réclamer notamment l'arrêt des expulsions locatives, la baisse des loyers, une hausse des APL (aide personnalisée au logement) ou encore "un logement digne et durable pour chacun". 

  • 30 000 familles menacées
Selon Jean-Baptiste Eyraud, porte-parole de l'association Droit au logement (DAL), "30 000 locataires sont menacés d'expulsion" à partir de mardi avec la fin de la trêve hivernale, principalement "les premiers de corvées, ceux qui font tourner la France". Un chiffre très élevé qui s'explique par le petit nombre d'expulsions effectuées en 2020, toujours en raison de la crise sanitaire. 

"On a une situation de tension très forte, c'est-à-dire qu'il y a ceux qui n'ont pas été expulsés l'année dernière mais pour lesquelles la procédure continue et ceux qui sont menacés d'expulsion au titre de cette année", explique ainsi à Franceinfo le délégué général de la fondation Abbé Pierre Christophe Robert. 

  • Baisse des expulsions en 2020

Par rapport aux années précédentes, 2020 a en effet été relativement clémente en termes d'expulsions de logement. L'an dernier, environ 3500 personnes ont été forcées à quitter leur habitation, contre 16 700 en 2019, soit une diminution de 79% par rapport à l'année précédente. 

Toutefois, cette baisse, comme le craignent les associations, pourrait avoir un effet boomerang cette année ou les années suivantes. "Tout laisse craindre une explosion des expulsions au cours de l'été 2021, sans relogement voire sans hébergement", redoute ainsi la fondation Abbé Pierre dans son communiqué. 


  • Les impayés, principale cause des expulsions

Dans son bilan sur la plateforme téléphonique à destination des personnes en situation de mal-logement créée il y a plus de dix ans, la fondation Abbé Pierre précise quelles sont les causes principales d'expulsions. La première d'entre elles reste l'impayé de loyer. Si ce nombre baisse légèrement depuis 2014, "elle ne s'accompagne malheureusement pas d'un nombre plus faible d'expulsions effectives", regrette l'association. 



La perte d'un emploi est la cause principale de l'impayé qui conduit à une expulsion. Une évolution de la situation familiale ou des problèmes de santé font aussi partie des problèmes le plus souvent rencontrés dans cette situation, juste devant le surendettement. 


  • Les régions les plus concernées

Les chiffres remontent à 2017, mais le constat reste le même. Les régions les plus peuplées sont celles où le nombre d'expulsions est, sans surprise, le plus élevé. Ainsi, les régions Ile-de-France, Auvergne-Rhône-Alpes et la région PACA sont les plus concernées par ce type de démarches. 


C'est aussi ce qui ressort du bilan de la fondation Abbé Pierre sur les appels reçus à propos d'une possible expulsion. Là encore, les trois régions arrivent en tête, suivies de près par la région Occitanie. 

Source : L'Express